Pour désespérées qu'elles soient parfois, ces chroniques n'ont pas cependant vocation à être désespérantes. Ecrites à ras du cœur, elles n'ont pas pour objet d'abdiquer du monde ou de refaire selon un plan préétabli, mais de provoquer un sursaut d'humanité vivante et solidaire, dans une ville, un pays et un monde de plus en plus fétichisé par la marchandise et le prêt-à-penser de ses nouveaux prêtres-marionnettes.